Les Sœurs Blanches et les Pères Blancs en Algérie
[marron]En Algérie, des milliers d’enfants vivent cachés, reclus. Noyés dans la masse que l’on nomme « les migrants », il n’est pas aisé de savoir combien ils sont à vivre dans la clandestinité et la précarité, privés de leurs droits les plus élémentaires. Des principes qui sont pourtant célébrés en fanfare aujourd’hui, Journée internationale de l’enfance, et seront réitérés dans quelques jours à l’occasion de la Journée Internationale du migrant.[/marron]
[vert]Ce texte se présente comme une sorte d’appel à s’aimer encore plus et à vivre ensemble malgré tous les évènements sans faire attention à toute différence de religion, de race, de nationalité ou de langue. Ça va vous paraitre idéaliste de ma part de vous dire que les êtres humains sont faits pour vivre et même mourir ensemble. Il suffit de le vouloir, d’y croire aussi. Une humanité plurielle et diversifiée est possible. Chacun est ce qu’il est dans son identité, sa culture, sa religion et cela n’empêche pas de partager toute une vie ensemble dans la fraternité, l’amour et l’amitié et en plus cela peut être gratuit et ça donne un sens à sa vie.[/vert]
[marron]Rencontre et développement (CCSA) œuvre pour les migrants algériens et subsahariens. En exil ou à la recherche d’une vie meilleure ailleurs. Ces derniers sont de plus en plus nombreux à se rendre en Algérie cette dernière décennie. Au point que, depuis 2001, Jan Heuft et son équipe aident ces migrants au retour volontaire dans leur pays d’origine, lorsque ce rêve s’avère difficile ou impossible à réaliser.[/marron]