Les Sœurs Blanches et les Pères Blancs en Algérie
[marron]Par amour et respect pour ceux et celles auxquels nous sommes envoyés,
vivant le “tout à tous” que nous a transmis le cardinal Lavigerie,
nous prenons le temps de nous enraciner dans un peuple
dont nous apprenons la langue et dont la culture nous enrichit.[/marron]
Et la marche continue
[marron]Le 27 décembre 1994, quatre pères blancs sont assassinés à Tizi Ouzou dans la cour du presbytère. Il s’agit d’Alain Dieulangard, 75 ans, en Kabylie depuis 1953 ; Charles Deckers, 70 ans, à Tizi Ouzou depuis 1955, puis à Alger ; Jean Chevillard, 69 ans, a Alger depuis 1955 ; et Christian Chessel, 36 ans, à Tizi Ouzou en 1986, puis depuis 1992.[/marron]
Guy Sawadogo, de l’équipe actuelle des pères blancs de Tizi Ouzou, nous dit comment la marche continue.
[marron]Voici une photo de la première réunion à l’ONU d’Alger du Conseil Consultatif.
Cela fut un évènement, avec des femmes algériennes vraiment très engagées. C’était pour moi très intéressant et surtout motivant.
Avec toutes mes amitiés,[/marron]
Jan Heuft. |
[vert]La fin d’une année civile et le début d’une nouvelle sont particulièrement marquants pour les personnes vivant dans la précarité ou au bord de la vie sociale.[/vert]
[vert]Le 24 Août, nous nous sommes retrouvés à l’ouest de l’Algérie dans une ville du nom de Mostaganem. Le but de ce rassemblement était le partage, l’échange, et surtout la rencontre de l’autre différent. Nous étions une trentaine d’étudiants, de pays, de langues et de cultures différents. Comme toute rencontre de ce type en Algérie, l’école de la différence offre une expérience de vie communautaire. Pour cette troisième édition, il était question de débattre sur des thèmes forts intéressants. Ce fut ma première participation et j’en garde une belle expérience et de belles découvertes sur moi-même et aussi sur les autres.[/vert] |