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L A V I G E R I E . be

Lignes de fracture N°14 Breuklijnen

Juillet - juli 2008
mardi 8 juillet 2008 par J.V.

En cette année de célébration du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Rapport 2008 d’Amnesty International est dédié aux femmes et aux hommes qui, avec un grand courage, continuent de mettre leur vie en danger pour la défense des droits humains.

Chaque jour, des défenseurs des droits fondamentaux s’opposent aux puissants, révèlent la vérité et donnent une voix à ceux qui n’en ont pas.

Dans toutes les régions du monde, des atteintes aux droits humains sont commises impunément : des gens sont torturés et tués pour leurs convictions, des femmes privées des soins les plus élémentaires meurent en couches, des communautés entières se retrouvent sans toit parce que des gouvernements impitoyables veulent exploiter leurs terres.

Le Rapport 2008 montre qu’il n’existe qu’une seule voie possible pour concrétiser le message essentiel de la Déclaration universelle des droits de l’homme – nous libérer de la misère, nous libérer de la terreur : œuvrer pour faire en sorte que l’indivisibilité des droits consacrés par la Déclaration devienne enfin une réalité pour tous.


AMNESTY INTERNATIONAL

LA SITUATION DES DROITS HUMAINS DANS LE MONDE

Avant-Propos — Des promesses sans lendemain ?

Nous continuons notre résumé de la présentation du dernier rapport d’Amnesty International sur le website de l’organisation. Caractères gras et italiques relèvent de notre rédaction.

Les puissances émergentes

La Chine commence peut-être à comprendre que soutenir des régimes instables et peu respectueux des droits humains n’est pas un bon choix commercial et que, pour protéger ses investissements et ses ressortissants à l’étranger, elle doit embrasser des valeurs universelles génératrices d’une stabilité politique durable.

Malgré cette évolution diplomatique, la Chine a encore un long chemin à parcourir. Elle reste le principal fournisseur d’armes du Soudan depuis 2004. En janvier 2007, elle a opposé son veto à une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies qui condamnait les violations des droits humains commises par le Myanmar ; elle est loin d’avoir concrétisé ses promesses portant sur les droits fondamentaux à l’approche des Jeux olympiques de Pékin.

Examinons maintenant comment la Russie se situe par rapport aux droits humains. Sûr de sa force et riche de ses revenus pétroliers, l’État russe a réprimé la dissidence politique, fait pression sur les journalistes indépendants et adopté des lois restrictives destinées à contrôler les organisations non gouvernementales. En 2007, des manifestations publiques pacifiques ont été dispersées par la force ; des avocats, des défenseurs des droits humains et des journalistes ont été menacés et attaqués. L’appareil judiciaire subissait toujours les pressions du pouvoir exécutif. Une corruption rampante compromettait l’état de droit et limitait sérieusement la confiance de la population dans le système juridique du pays. En Tchétchénie, l’impunité était omniprésente, poussant certaines victimes à demander justice auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, à Strasbourg.

L’Inde jouit d’une démocratie progressiste solide, s’appuyant sur un héritage juridique fort en matière de droits humains et un système judiciaire indépendant. Toutes ces caractéristiques peuvent lui conférer une fonction de modèle. L’Inde a joué un rôle positif au niveau du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Au Népal, elle a contribué à rapprocher les partis traditionnels et les insurgés maoïstes, ce qui a permis de mettre un terme à un conflit armé de longue durée ayant entraîné de très nombreuses atteintes aux droits humains. Mais elle doit faire preuve de plus de dynamisme dans l’application des droits fondamentaux au niveau national, et adopter une ligne plus claire à leur sujet au niveau international. Au Myanmar, même quand la junte a réagi violemment aux mouvements de protestation pacifiques menés par des moines et d’autres personnes, le gouvernement indien a continué de négocier avec ce pays des accords d’extraction pétrolière.

Le rôle joué par l’Afrique du Sud dans le Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) – qui met l’accent sur une bonne gouvernance – faisait espérer que les dirigeants africains prendraient leurs responsabilités pour résoudre les problèmes du continent, y compris en matière de droits humains. Mais le gouvernement de l’Afrique du Sud a hésité à dénoncer les exactions commises au Zimbabwe. Les droits humains sont universels et s’appliquent à tous, sans exception – et aucun État ne le sait mieux que l’Afrique du Sud. Peu de pays ont une responsabilité morale aussi importante lorsqu’il s’agit de défendre ces valeurs universelles, partout où elles sont bafouées.

Les droits humains sont des valeurs mondiales et, de ce fait, leurs chances d’être adoptées sont étroitement liées à l’orientation des Nations unies. Bien que le Conseil de sécurité des Nations unies soit resté bloqué sur la question des droits fondamentaux par les conflits d’intérêt de ses membres permanents, l’Assemblée générale a montré en 2007, lorsqu’elle a appelé à un moratoire universel sur la peine de mort, qu’elle disposait d’une certaine capacité d’initiative. Elle a fourni au monde l’orientation que celui-ci attendait : des États qui s’entraînent les uns les autres afin de progresser, plutôt que de se niveler mutuellement par le bas. Les Nations unies ont montré en cette occasion le meilleur d’elles-mêmes. Le Conseil des droits de l’homme, qui va entamer une évaluation périodique universelle du respect des droits humains, donnera-t-il un exemple similaire en 2008 ?

Pour une nouvelle unité d’objectif

Quel est donc l’avenir des droits humains ?

Le chemin à suivre s’annonce chaotique. Des conflits de longue durée – très visibles au Moyen-Orient, en Irak et en Afghanistan, oubliés dans certains endroits comme à Sri Lanka et en Somalie, pour n’en nommer que deux – prélèvent de lourds tributs en vies humaines. Les dirigeants mondiaux ne parviennent pas à trouver une issue à ces conflits, comme en Irak et en Afghanistan, ou n’ont pas la volonté politique nécessaire pour les résoudre, comme dans le cas d’Israël et des territoires palestiniens occupés, où un conflit de très longue durée est marqué par l’échec des initiatives collectives internationales (telles celles du « quartette » constitué par les États-Unis, l’Union européenne, la Russie et les Nations unies) en matière de lutte contre l’impunité et l’injustice.

En matière d’élimination de la pauvreté, les discours prévalent sur la volonté d’agir. Au moins deux milliards de personnes continuent de vivre dans la pauvreté et ont de grandes difficultés à obtenir de l’eau propre, de la nourriture et un logement. Les changements climatiques vont tous nous affecter, mais les plus pauvres d’entre nous seront les plus touchés : ils vont perdre leurs terres, leurs vivres et leurs autres moyens de subsistance. En juillet 2007, nous sommes arrivés à mi-parcours du calendrier défini par les Nations unies pour atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement. Loin d’être parfaits, ces objectifs permettraient pourtant d’améliorer la santé, les conditions de vie et l’éducation de nombreuses personnes dans les pays en développement d’ici à 2015. Mais le monde n’est pas en passe de réaliser la plupart de ces objectifs et les droits humains ne sont hélas pas correctement pris en compte dans ce processus. Il convient donc manifestement de changer à la fois l’intensité et la nature des efforts déployés.

Qu’en est-il des initiatives visant à éliminer la violence liée au genre ? Les femmes, les jeunes filles et les fillettes subissent de graves violences sexuelles dans pratiquement toutes les régions du monde. Dans un Darfour déchiré par la guerre, les viols se poursuivent en toute impunité. Aux États-Unis, de nombreuses victimes de viol appartenant aux catégories défavorisées ou à des communautés autochtones ne parviennent pas à obtenir justice, ni une protection efficace, des autorités fédérales et tribales. Les dirigeants doivent se mobiliser plus énergiquement afin que les droits fondamentaux deviennent une réalité pour les femmes et les filles.

Nous sommes en présence de problèmes mondiaux comportant une dimension humaine. Une réponse à l’échelle mondiale s’impose donc. Reconnus au niveau international, les droits humains offrent un cadre idéal pour élaborer cette réponse, car ils représentent un consensus mondial sur les limites acceptables et les défaillances intolérables des pratiques et des politiques des gouvernements.

Le Déclaration universelle des droits de l’homme est un modèle qui reste aussi pertinent aujourd’hui qu’en 1948. Les États doivent s’engager à nouveau en faveur des droits humains.

Inquiets, en colère, déçus, les gens refuseront de se taire si le fossé entre leur exigence d’égalité et de liberté et l’attitude de ceux qui les gouvernent ne cesse de se creuser. Mécontentement face à la forte hausse tarifaire du riz au Bangladesh, troubles consécutifs à l’augmentation du prix du pain en Égypte, violences postélectorales au Kenya, manifestations publiques liées aux expulsions et aux problèmes d’environnement en Chine : ces événements ne sont pas de simples exemples illustrant les préoccupations économiques et sociales des populations. Ils attestent d’une tension grandissante des couches populaires face à des gouvernements qui ont manqué à leurs promesses de justice et d’égalité.

La chose n’aurait pas été imaginable à un tel degré en 1948 mais, aujourd’hui, un mouvement mondial de citoyens exige que les dirigeants de la planète renouvellent leurs engagements en matière de défense des droits humains. Qu’il s’agisse d’avocats en costume noir au Pakistan, de moines en robe safran au Myanmar ou des 43 millions et 700 000 personnes qui se sont mises debout, le 17 octobre 2007, pour réclamer une action contre la pauvreté, tous ont rappelé qu’il existe une citoyenneté mondiale décidée à lutter pour les droits fondamentaux et à exiger que ses dirigeants rendent des comptes.

Dans un village du nord du Bangladesh, des femmes sont assises sur des nattes de bambou, en pleine poussière. Elles sont inscrites à un programme d’initiation au droit. La plupart d’entre elles savent à peine lire ou écrire. Elles écoutent attentivement leur professeur qui, à l’aide d’affiches comportant des éléments graphiques, explique le texte de loi interdisant le mariage des enfants et requérant le consentement éclairé des femmes avant le mariage. Ces personnes ont reçu des prêts par le biais d’un système de microcrédit géré par une importante ONG, le Bangladesh Rural Advancement Committee. Une femme a acheté une vache et espère obtenir un revenu supplémentaire en vendant du lait. Une autre envisage d’acheter une machine à coudre et de monter un petit commerce de couture. Qu’espère-t-elle de la formation à laquelle elle assiste ? « Je veux en savoir davantage sur mes droits, dit-elle. Je ne veux pas que mes filles souffrent comme j’ai souffert, alors je dois apprendre comment protéger mes droits et les leurs. » Dans ses yeux brille une lumière que l’on retrouve dans le monde entier, chez des millions de personnes fortes, comme elles, de leur espoir et de leur détermination.

Les gens ont le pouvoir d’espérer et de provoquer des changements. En cette année de célébration du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, ce pouvoir est particulièrement manifeste. Une nouvelle conscience des droits humains a émergé sur la planète.
Les dirigeants mondiaux ne veulent pas le voir. Ils ont tout à y perdre.

Il y a soixante ans, en adoptant la Déclaration universelle des droits de l’homme, qui définissait un ensemble exhaustif de droits, les États membres des Nations unies ont fait preuve d’une grande détermination et d’un esprit visionnaire considérable.

Toutefois, avec les années, cette unité d’objectif s’est perdue, et aujourd’hui les droits humains divisent les États plus qu’ils ne les rassemblent. Le monde affronte de nombreuses crises qui requièrent une action concertée et commune des États en vue de protéger les droits humains mais, dans ce domaine, le bilan des anciennes et des nouvelles puissances – chez elles ou à l’étranger – n’inspire pas une grande confiance.

Pour rester optimiste concernant l’avenir, il faut se souvenir qu’une société civile mondiale est en train de se former, qu’elle rejette les clivages entre les riches et les pauvres, entre les aspects séculiers et religieux ou entre le Nord et le Sud, et qu’elle exige une action unifiée des États.

À l’occasion du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, Amnesty International rappelle sa solidarité avec les défenseurs des droits humains dans le monde entier.
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EET MINDER VLEES !!!

Enkele slagzinnen uit een artikel van MO* van februari dit jaar. Het betreft het klimaat, de voedselschaarste en onze gezondheid.

  • Een gemiddelde Belg eet elke dag 270 gram vlees of 102 kilo per jaar (in 1919 at een Belg gemiddeld 30 kilo vlees per jaar). Daarmee staan wij in de top vijf van de wereldranglijst, voorafgegaan door de VS, Spanje, Denemarken en Frankrijk.
  • Intensieve veehouderij draait op krachtvoer : granen, sojaschroot, maïs, maniok, vismeel en restproducten uit de voedingsindustrie. Meer dan 60 procent van de totale productie van granen, maïs en gerst wordt gebruikt voor veevoer : 670 miljoen ton graan, waarvan meer dan de helft voor de industrielanden. Jaarlijks importeert België uit Afrika 1.320.000 ton maniok… Wereldwijd neemt de teelt van dieren en de productie van voeder 78 procent van de landbouwgrond in beslag. Veevoeder bestaat voor 80 procent uit gewassen die geschikt zijn voor menselijke consumptie.
  • Op wereldvlak is één vijfde van de totale methaanuitstoot afkomstig van de veeteelt. De impact van methaan is 23 keer groter dan die van CO². Er is ook nog de gewone CO²-uitstoot, vooral afkomstig van ontbossing, verwarming van serres en stallingen, en het gebruik van fossiele brandstof in het hele productieproces. De consumptie van vlees is verantwoordelijk voor meer uitstoot van broeikasgassen dans de transportsector. Eén kilo vlees weegt in onze ecologische voetafdruk 10 keer zwaarder door dan een kilo groenten. En van hoe verder uw biefstuk komt, hoe meer CO² hij op zijn geweten heeft. En wij met hem.
  • Overgewicht, cholesterolproblemen, suikerziekte en hartkwalen vormen het verborgen prijskaartje dat hoort bij een vlees- en calorierijk dieet.
  • Om een kilo varkensvlees te produceren heb je 9700 liter water nodig en voor rundvlees nog drie keer zoveel. Gemiddeld genomen is voor de productie van een kilo vlees 100 keer meer water nodig dan voor de productie van een kilo graan of groente. Voor de steak op je bord ligt, heeft hij vijfduizend liter water opgeslokt.

Besluiten of voornemens ?

  • Gespecialiseerde internationale organisaties wijzen op de noodzaak de vlees- en zuivelconsumptie in de rijke landen met een derde te verminderen tegen 2020 en met de helft tegen 2050. Ons huidig consumptieniveau is gewoon niet houdbaar. Daarvan meer bewust worden is een eerste stap vooruit.
  • Een dagje zonder vlees kan ons al aardig op weg helpen om de milieucrisis af te remmen.
  • En moeten wij driemaal per dag vlees op tafel krijgen ? Was dat zo als wij jong waren ?

WAPENHANDEL

Zie meer uitleg : Les nouvelles du GRIP, 2/08.

8 juni 2008 : tiende verjaardag van de Gedragscode van de Europese Unie betreffende de wapenhandel. Deze code, aangenomen door de Raad van de Europese Unie in 1998, streefde een dubbel doel na : enerzijds de soms tegenstrijdige wetten van de verschillende lidstaten harmoniseren ; anderzijds de proliferatie van wapens in sommige overbewapende regio’s vermijden. De lidstaten verklaarden bereid te zijn de uitvoer te verhinderen van uitrustingen die zouden kunnen worden gebruikt voor interne repressie of internationale aanvallen, of die kunnen bijdragen tot de regionale instabiliteit.

Tien jaar later staan we nog niet erg ver. De druk komt vooral van de kant van de economische et financiële belangengroepen. De Europese bewapeningsindustrie beweert dat ze moet kunnen uitvoeren om te kunnen overleven.

Op dit ogenblik heeft alleen België de 8 criteria van de code in zijn eigen wetgeving geïntegreerd. Oostenrijk, Finland, Duitsland et Spanje hebben sommige van die criteria ingeschreven in hun nationale wetgeving.

HET PRIJSKAARTJE VAN DE OORLOG IN IRAK

600 miljarden dollars, dat is tien keer meer dan hetgeen Donald Rumsfeld in het begin had geschat. En daarin wordt dan nog geen rekening gehouden met de duizenden oudstrijders die recht hebben op verzorging of op schadeloosstelling, noch met al het verwoestte materiaal dat moet worden vervangen, noch met de intresten die moeten worden betaald op de aangegane schulden om de oorlog te financieren, schulden die nog gedurende generaties zullen drukken op de Amerikaanse burger, en waarover Bush nooit spreekt.

LA PEINE DE MORT EN AFRIQUE

Extrait du Rapport 2008 d’Amnesty International, portant sur l’année 2007

Les Etats africains étaient de plus en plus nombreux à devenir abolitionnistes de droit ou de fait. Si la sentence capitale demeurait en vigueur dans plusieurs pays, les exécutions n’ont pas été nombreuses.

Le Rwanda a aboli la peine de mort en juillet. Le Gabon a annoncé en septembre son intention de faire de même – si le Parlement se prononçait en ce sens. En octobre, le Mali a soumis au Parlement un projet de loi relatif à l’abolition de la sentence capitale. Dans plusieurs pays, les condamnations à mort ont été commuées en peines de réclusion à perpétuité, notamment au Congo, au Ghana et en Zambie.

En décembre, l’Assemblée générale des Nations unies a voté une résolution appelant à un moratoire sur l’application de la peine de mort : 17 Etats africains se sont prononcés en faveur du moratoire et 20 se sont abstenus.

Des exécutions ont cependant eu lieu en Ethiopie, en Guinée équatoriale, en Somalie et au Soudan. En Ouganda, des tribunaux militaires ont ordonné l’exécution de soldats. Les informations recueillies par Amnesty International en 2007 ont révélé qu’au moins sept exécutions avaient eu lieu au cours de l’année précédente au Nigéria, alors que des représentants du gouvernement avaient officiellement déclaré qu’aucune peine capitale n’avait été appliquée dans le pays ces dernières années. (Rapport 2008, page 23)

N.B. La Biélorussie est le dernier Etat d’Europe à exécuter encore des condamnés.

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