Les Pères Blancs et les Soeurs Blanches en Tunisie
[marron]A Sfax, Père Jonathan accompagne les migrants, qui ont perdu la vie en tentant de rejoindre l’Europe, jusqu’à leur dernière demeure. Dans le cimetière chrétien de la ville il offre un enterrement digne aux voyageurs égarés.[/marron]
[marron]Colonne JPIC[/marron] [2]
J’ai été très heureux que l’on m‘aie demandé d’écrire quelques mots sur la situation des domestiques ivoiriennes ici à Sfax en Tunisie. Mais j’ai beaucoup hésité à le faire. Ceci dit, ce que j’essaie d’exprimer ici est né de mon expérience d’écoute et d’observation auprès de celles que nous appelons « petites bonnes ivoiriennes ». C’est plus un partage qu’un texte scientifique !
[vert]L’assemblée générale de la CERNA, -la conférence épiscopale des régions d’Afrique du Nord-, s’est tenue à Rome, du 6 au 9 octobre. Pendant ces quelques jours, les évêques catholiques du Maroc, de Tunisie, Libye, Algérie ou Sahara se sont retrouvés pour partager ensemble sur les réalités de leurs diocèses, réalités contrastées suivant les contextes géopolitiques de ces pays.[/vert]
[vert]Parmi les évêques présents, Mgr Ilario Antoniazzi, archevêque de Tunis depuis 5 mois. La Tunisie, « berceau » des printemps arabes, vit, souvent dans l’incertitude, les suites du processus révolutionnaire.[/vert] |
[vert]« …..Par Jésus Christ, Dieu nous associe à son œuvre de création… »[/vert]
[marron]Ce doit être assez rare : non seulement j’ai eu la chance d’étudier la théologie dans le pays où j’ai été affecté, mais je n’ai connu qu’une nomination au cours de mon existence missionnaire. Cela veut dire que je vis en Tunisie depuis 56 ans.[/marron] |